Les premiers sont de grands tableaux, à traiter de la même manière que les Picross « classiques », à la différence qu’une fois le tableau de 8×8 terminé, chaque case grisée représente un nouveau puzzle de 10×10 à compléter pour affiner l’image finale. Il en ressort une oeuvre d’art connue. Ces tableaux sont généralement peu nombreux dans le jeu (il y en a 3 dans Picross e6) mais prennent pas mal de temps et sont intéressants, même si généralement assez faciles.
Pour ce qui est des Méga-Picross, il s’agit d’un type de puzzle un peu plus complexe, comme le premier tableau présenté dans l’article. Les chiffres entourés de noir sont à considérer pour les 2 lignes ou colonnes qu’ils englobent. Un 3 regroupant 2 lignes signifie donc qu’il y aura une ligne avec une case grisée et une autre avec deux, les trois cases étant collées les unes aux autres. Et parce qu’une image vaut mieux que 10 paragraphes imbuvables, voici une copie d’écran retrouvée sur Miiverse pour expliquer ce fonctionnement.
Des premiers niveaux très simples avec des petites grilles aux derniers
plus grands et plus complexes, avec plus de 300 puzzles, il y a de quoi y passer un grand nombre
d’heures, pour un tarif de 5 euros seulement.
En tout cas je ne passe jamais à côté, et dès que celui-ci sera fini j’attendrais avec impatience le 7!